2Fast & 2Furious

Film de John Singleton

Vroum vroum, voiture!!

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->>Analyse Cinéfille     -versus-     ->>Analyse Anae

->>Analyse Cinéfille

On ne met pas un seul «2» mais deux «2». C'est ça qui va peut être faire la différence entre la première édition et la deuxième ou la seconde (quand on dit seconde, il n'y a pas de troisième). Où c'est parce que ce réalisateur John Singleton veut se démarquer avec cette fois Paul Walker en première ligne, alors que Rob Cohen et son Diesel ont préféré faire leur show à part, XXX. Singleton a qui nous devons Shaft, dont je n'ai pas fait de critique et que je n'ai pas particulièrement apprécié.

Comme dans le premier, il faut deux têtes, le premier revient du premier quant au second, on a pas cherché bien loin, l'ami d'enfance.

Dans ce deuxième opus, Singleton rajoute des "caisses qui tuent" avec un "style" (prononciation anglaise) qui déchirent et plus de "meufs" à moitié à poil où le casting s'est fait sans dialogue.

Quant à l'histoire, on change, on rajoute et on retouche par rapport au premier. Primo, la fin ne se finit pas bien, Paul Walker alias Brian O'Conner n'a pas eu le temps de sympathiser avec le méchant. Ensuite, on mouille plus de gens pour que ça reste excitant jusqu'au bout, Eva Mendes alias Monica Fuentes réussi à rentrer dans la machine mais a du mal à en sortir. Et puis, il y a plus d'argent en jeu, là on tâte le billet, c'est pas de la chaîne HI-FI. Et enfin la porte de sortie n'est pas la même, on ne choisit pas exactement le camp des flics, on en choisit pas non plus celui du méchant, mais on fait un mix pour que ça donne une meilleure fin.

Le combat serait-il lancé entre Fast and Furious et XXX?

Les deux hommes du film: Paul Walker dans le rôle de Brian O'Conner et son ami d'enfance Roman Pearce interprété par Tyrese Gibson.

Paul Walker reprend son rôle mais ici c'est le premier rôle qu'on lui donne. Par contre, il campe le méchant dès le début, le «bad boy », un peu à la Vin Diesel. Tyrese Gibson alias Roman Pearce la joue encore plus rebelle. C'est pour titiller le peuple et même pousser à bout les personnages pour les rendre plus intéressants à l'écran. Cole Hausser alias Carter Verone incarne ce stéréotype de mec plein de fric qui n'a rien d'autre à faire que de semer la terreur autour de lui. Celui qui corrompre le monde, qui à tendance à régner en maître du début jusqu'au cinq dernières minutes de film. La fille reprend en quelque sorte le rôle de Walker dans le premier. Infiltrée, elle doit le prendre en flagrant délie. Sauf que dans cette version de l'histoire, elle ne retourne pas sa veste.

Bref un scénnar qui reprend le premier en bricolant, en remodelant et en ajoutant de nouvelles têtes, celles du premier n'ont pas toutes résigner le contrat.

P.S.: Etant donné que je n'ai pas fait de critique du premier film, mais que j'ai vu, rassurez-vous. Il se résume en un tas de stéréotype : bagnoles, filles, sexe et mecs qui font tout pour montrer leur virilité.

P.S. 2: Désolé pour le vocabulaire utilisé mais vous savez que ce n'est pas dans mes habitudes, seulement le contexte s'y prêtait.

.Cinéfille.

->>Analyse Anae

C'est comme pour Cube 2, pas besoin de voir le 1 pour comprendre le 2. C'est presque une histoire totalement différente du 1.

On commence sur les chapeaux de roues, dès le début, avec une formidable course qui oppose quatre concurrents. Et c'est pas fini, pendant tout le film on a le droit a des courses pour chaque occasion, du genre : mais qui va draguer la fille en premier? Allez, viens on fait une course... Mais bon, c'est tellement beau à voir...
Ce film n'est pas réservé exclusivement à un public masculin (courses, filles en mini-jupettes, etc...), les filles aussi pourront apprécier le film : des personnages principaux qui se la jouent Bô-goss (ce qui n'est pas désagréable à voir (:p)), des voitures super belles (pour les amatrices), et les apparitions de la top-model Devon Aoki qui assure grave au volant et qui fait mordre la poussière à un macho de première heure (encore un Italien, pfff).

Par contre c'est énervant car dans les courses, à chaque fois qu'on voit un personnage dans sa voiture, il est tout le temps en train de manœuvrer le boîtier de vitesse, on a l'impression que leur voiture est équipée de 15 vitesses au lieu de cinq... Ah! La magie du cinéma...

En fait le scénario se suit, c'est le principal, mais ce n'est pas de qui retiens notre attention en premier. Ce n'est qu'une banale histoire dans laquelle Brian O'Connor (= Paul Walker, le seul rescapé de Fast and furious 1) doit mettre à jour un trafic de blanchiment d'argent.

A voir absolument...

.Anae.

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